Qui peut participer ?
- Toute personne âgée d’au moins 11 ans qui vit, travaille ou étudie à Villeurbanne.
- Dès 7 ans dans le cadre d’un projet pédagogique avec une école, un centre de loisirs…
- Seul ou en collectif avec ses proches, ses collègues, une association, un conseil de quartier, un centre social ou une entreprise de l’économie sociale et solidaire.
Quelle idée peut-on proposer ?
Pour être éligible, une idée doit respecter quelques critères essentiels :
- Être localisée à Villeurbanne.
- Relever de l’intérêt général.
- S’inscrire dans les champs de compétence de la Ville : santé publique, handicaps, soutien aux commerces, crèches, écoles, gymnases, médiathèques, manifestations culturelles, parcs, aires de jeux, police municipale…
- Constituer une dépense d’investissement et ne pas générer de dépenses récurrentes à la charge de la Ville.
- Être réalisable dans les deux ans.
Comment déposer une idée ?
- En remplissant le formulaire en ligne
- En remplissant un formulaire papier à déposer dans l’une des 34 boîtes à idées du budget participatif
Focus sur deux projets de précédentes éditions du budget participatif réalisés :
- Une aire de jeux inclusifs : A l’occasion du budget participatif 2022, des enfants qui fréquentent les temps périscolaires d'une école du quartier Charpennes-Tonkin ont présenté un projet pour la création d’une aire de jeux inclusifs. Leur objectif : favoriser les interactions entre enfants, porteurs et non porteurs de handicaps, en leur permettant tout simplement de jouer ensemble dans l’espace public. Le projet a été retenu par les votants et un budget de 130 000 euros lui a été attribué.
- La mini-forêt des Alytes : Près de 1 500 arbres ont été plantés, selon la méthode Miyawaki, par des habitants volontaires en février 2024. "La méthode Miawaki consiste à planter trois arbres au mètre carré, donc de faire des plantations très denses, pour créer un réseau de racines qui permette de perméabiliser le sol et de créer un micro-climat où les arbres vont se faire mutuellement de l’ombre, ce qui est important pour faire face aux canicules et aux sécheresses que l’on connaît. Selon cette méthode, on plante une grande diversité d’essences locales, pour essayer de recréer un écosystème qui se rapprocherait de celui d’une forêt mature", explique Geoffrey Pressac de l'association Boomforest, qui a présenté la technique aux participants.
